Pleins feux sur les employés : Voici Colton Wooster

Colton Wooster

Colton Wooster est un ingénieur stagiaire de notre secteur d’affaires environnement au Canada.

Notre série Pleins feux sur les employés vous donne un aperçu de nos experts techniques à travers le monde. Cette semaine, nous vous présentons un ingénieur stagiaire de notre secteur d’affaires environnement au Canada et nous vous donnons un aperçu de son inspiration et de son travail.

Colton Wooster est un ingénieur géotechnique stagiaire basé à notre bureau de Winnipeg, au Manitoba. Il travaille sur des projets principalement dans le Nord du Canada. Travaillant dans nos secteurs d’affaires transport et eau, il participe à des projets liés à l’administration des contrats, aux enquêtes géotechniques et à la production de rapports.

Qu’est-ce qui vous a inspiré à travailler dans ce domaine? 

En grandissant, ma famille travaillait principalement dans les domaines de la santé et de l’éducation. Je ne connaissais donc pas le secteur du génie. J’ai toujours excellé en mathématiques et en résolution de problèmes, mais j’ai eu des difficultés au cours de ma première année d’université, car je n’arrivais pas à trouver de cheminement de carrière qui m’inspirait à réussir ou qui me permette d’utiliser mes forces. 

J’ai pris une pause de l’école pour travailler dans l’industrie de la construction dans le Nord de l’Alberta et les Territoires du Nord-Ouest. En travaillant en étroite collaboration avec des gestionnaires de projet et des ingénieurs, j’ai acquis une compréhension approfondie du rôle dynamique d’ingénieur, ouvrant la voie à ma carrière dans le domaine. 

Compte tenu de mon expérience universitaire antérieure, j’ai décidé d’emprunter une voie différente. J’ai postulé et j’ai ensuite obtenu un diplôme en technologie du génie civil d’un collège local. Cette approche m’a permis d’évaluer mon engagement dans le domaine : si je réussissais, la porte était ouverte pour poursuivre vers un diplôme en génie civil. Je voulais m’assurer que ce cheminement de carrière correspondait à l’idée que j’en avais. 

Après ma première année à l’université, j’étais accro! Je savais que c’était le cheminement de carrière qui me convenait. Je me suis consacré à quatre années d’études rigoureuses, en travaillant pendant l’été pour les financer. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai fait mes premiers pas dans le secteur au sein d’une entreprise de géosynthétique. Pendant ce temps, je développais un intérêt pour le génie géotechnique. Cependant, j’ai toujours eu pour objectif de travailler dans le domaine du service-conseil, alors quand j’ai vu l’occasion de me joindre à l’équipe géotechnique d’AECOM, j’ai immédiatement postulé.  

Compte tenu de mon expérience universitaire antérieure, j’ai décidé d’emprunter une voie différente. J’ai postulé et j’ai ensuite obtenu un diplôme en technologie du génie civil d’un collège local. Cette approche m’a permis d’évaluer mon engagement sur le terrain. Après ma première année à l’université, j’étais accro! Je savais que c’était le cheminement de carrière qui me convenait. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai fait mes premiers pas dans le secteur au sein d’une entreprise de géosynthétique. Pendant ce temps, je développais un intérêt pour le génie géotechnique.

What is your favorite AECOM project that you’ve worked on and why?

Je me suis récemment joint au programme d’épanouissement pour les Autochtones d’AECOM. Ce programme met l’accent sur l’importance du mentorat, de l’expérience et de l’inspiration en tant qu’éléments clés du succès futur d’AECOM, mais aussi de la prochaine génération de professionnels de l’infrastructure. Le programme offre aux diplômés d’écoles secondaires et d’universités d’origine autochtone la chance de découvrir des professions menant à des carrières enrichissantes dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des arts et des mathématiques, ainsi que des affaires, du développement économique, de l’environnement et des services aux gouvernements fédéraux. AECOM souhaite établir des liens avec des étudiants passionnés dans ces domaines, en offrant potentiellement du mentorat, des stages et un éventuel emploi futur. 

Je suis autochtone et j’ai reçu le soutien de ma bande pendant mon séjour à l’université. Je serai toujours reconnaissant de cet appui. Ayant relevé seul les défis universitaires, mon objectif est maintenant de soutenir, d’encourager et de guider les futurs ingénieurs et de contribuer à la réussite de l’organisation. 

Le programme d’épanouissement pour les Autochtones d’AECOM offre aux diplômés d’écoles secondaires et d’universités d’origine autochtone la chance de découvrir des professions menant à des carrières enrichissantes dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des arts et des mathématiques, ainsi que des affaires, du développement économique, de l’environnement et des services aux gouvernements fédéraux. Ayant relevé seul les défis universitaires, mon objectif est maintenant de soutenir, d’encourager et de guider les futurs ingénieurs et de contribuer à la réussite de l’organisation.

Expliquez-nous en quoi votre travail a des retombées positives sur la collectivité. 

Depuis que je travaille chez AECOM, j’ai participé à des travaux géotechniques sur le terrain et à des travaux administratifs contractuels pour une nouvelle usine de traitement de l’eau dans une communauté éloignée du Nord du Manitoba. Ce projet est conforme à l’objectif du Canada de pouvoir lever les avis concernant la qualité de l’eau potable grâce à l’amélioration de l’infrastructure et la formation. AECOM est la conseillère du projet de construction de l’usine, qui devrait être achevé d’ici la fin de 2024. Tous les peuples du monde devraient avoir accès à de l’eau potable et je suis convaincu que le résultat de ce projet aura un impact positif sur la communauté locale à qui il profitera.

J’ai participé à des travaux géotechniques sur le terrain et à des travaux administratifs contractuels pour une nouvelle usine de traitement de l’eau dans une communauté éloignée du Nord du Manitoba. Ce projet est conforme à l’objectif du Canada de pouvoir lever les avis concernant la qualité de l’eau potable grâce à l’amélioration de l’infrastructure et la formation. Je suis convaincu que le résultat de ce projet aura un impact positif sur la communauté locale.

Quel conseil professionnel aimeriez-vous donner à vos collègues? 

La vie n’est pas une course. Il vaut mieux prendre le temps de se comprendre soi-même, de connaître ses objectifs de vie et de carrière que de se précipiter vers quelque chose qui ne nous convient peut-être pas. La chose la plus importante dans la vie est d’être heureux et de connaître sa propre valeur.  

À l’ère des médias sociaux, il est facile de se laisser prendre à comparer sa vie à celle des autres. Essayer de suivre le rythme de ses amis, des anciens collègues et des membres de la famille peut être épuisant et nuire à la santé mentale. La vie n’a pas de mode d’emploi, il n’y a pas qu’une seule voie vers le succès. Alors, avancez un jour à la fois et tirez le meilleur parti de chaque occasion qui vous est offerte. 

N’ayez pas peur d’essayer, même si ça vous semble difficile. Chaque situation inconnue est source d’incertitude, ce qui peut être intimidant. C’est normal d’avoir peur, mais ne laissez pas cette peur vous envahir. Ne comptez pas vos efforts et tentez votre chance. Quel est le pire qui puisse arriver? Échouer et apprendre de ses erreurs.    

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